Silence on vaccine
Médecine / Alimentation
À la suite de l’apparition d’effets secondaires chez certaines personnes, tels l’autisme ou la sclérose en plaques, doit-on remettre en question les politiques actuelles de vaccination à grande échelle? Alors que de nombreux spécialistes reconnus sonnent l’alarme, les autorités de santé publique et les compagnies pharmaceutiques continuent de faire la sourde oreille..
Depuis leur mise au point au début du vingtième siècle, les vaccins constituent une formidable réussite médicale et scientifique. Aujourd’hui perçue comme une incontournable nécessité, la vaccination nous est si familière que ses risques potentiels sont peu souvent évoqués.
Selon les recommandations des Agences de Santé, l’enfant nord-américain reçoit environ 48 doses de 14 vaccins différents avant l’âge de six ans, soit le double du nombre prescrit 25 ans auparavant. Malgré cette croissance exponentielle, peu d’études indépendantes de l’industrie pharmaceutique sont réalisées sur leurs dangereux effets secondaires à long terme. Une situation préoccupante quand on connaît le nombre élevé des substances toxiques qui entrent dans leur composition. Le mercure et l’aluminium ne sont que quelques-uns de ces éléments nocifs, présents en quantités substantielles dans certains vaccins couramment administrés.
Selon les spécialistes en la matière, la vaccination serait directement responsable de désordres immunitaires ou neurologiques chez certaines personnes prédisposées génétiquement ou neurologiquement à mal réagir aux composantes des vaccins. Autisme, sclérose en plaques, syndrome de Guillain-Barré, myofasciite à macrophages, encéphalites, paralysies, neuropathies et autres; la liste des maladies répertoriées indique bien la gravité de la situation.
Un film qui soulève bien des questions et qu’on essaie de dénigrer par tous les moyens.. Il dresse un portrait inquiétant de cette problématique qui touche l’ensemble de la société, dénonçant l’immobilisme des autorités de santé publique qui sont bien entendu tenu en laisse par les grands lobbys pharmaceutiques évidemment prêt à tuer et à ruiner la vie de nombreuses personnes tandis que leur gigantesque profit demeure et s’accroît.
Du mercure et de l’aluminium : ce sont les substances que l’on peut trouver dans certains vaccins administrés aux enfants de manière récurrente dès leur plus jeune âge. Même si ceux-ci ont permis aux sociétés occidentales de maîtriser des fléaux comme les hépatites, le tétanos ou la poliomyélite, ce film avance qu’ils ont probablement favorisé le développement de maladies neurologiques, dermatologiques ou rhumatologiques. A Québec, les parents du petit Alexis, 2 ans et atteint d’une encéphalite, en témoignent. Depuis qu’on lui a injecté six vaccins dans la même journée, Alexis « ne sait plus avaler, ne sait plus parler, ne sait plus marcher ». Des études épidémiologiques américaine, française et canadienne laissent penser que le mercure, présent sous forme de conservateur dans certains vaccins courants comme l’antitétanique ou les antigrippaux, entraînerait des troubles du comportement et du développement. D’autres vaccins à base d’aluminium cette fois, à l’instar des antihépatites, pourraient provoquer des maladies neuromusculaires (lire l’encadré). Aurélie, une jeune femme pleine de vie malgré sa maladie, explique qu’elle a manifesté les premiers symptômes de la sclérose en plaques à la suite d’une vaccination contre l’hépatite B.
De : LINA B. MORECO // 2008.
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